Merci à tous pour vos retours positifs sur les notes de blog précédentes, qui mettent en scène les coulisses de la création à quatre mains avec Maud. Ca nous donne envie de continuer.
Encore quelques notes de blog dans cette veine !
Aujourd'hui c'est l'histoire du portrait de Makotu, une belle Birmane rencontrée en janvier 2016 au marché de Kengtung, pendant une inhabituelle vague de froid. Pendant que je la dessinais, elle faisait chauffer des saucisses sur son brasero pour se réchauffer.
J'avais déjà relaté sa rencontre sur ce post.
Notez le radiateur allumé dans l'atelier de Maud, auquel il fallait rester collées pour ne pas s'aventurer dans le reste de l'atelier, où il faisait entre 5 et 10°C... Histoire de rester dans l'ambiance frigorifiée de ma rencontre avec Makotu !
(Maud on aurait dû faire chauffer des saucisses sur le radiateur pour parfaire la reconstitution !)
Puis la touche Maud, ça a été l'ajout de perles de jokko dans les camaïeux de la toile.
Comment les fixer avant de les coudre ? Avec des épingles ?
Non, finalement elles seront fixées sur un ruban adhésif, pour les garder dans l'ordre en attendant de les coudre
Après couture des Jokko, Maud (qui semble vouloir rester anonyme sur cette photo, ou alors il est 3h du mat' et elle pète un plomb !) sort la perceuse pour installer des pendeloques...
Encore quelques notes de blog dans cette veine !
Aujourd'hui c'est l'histoire du portrait de Makotu, une belle Birmane rencontrée en janvier 2016 au marché de Kengtung, pendant une inhabituelle vague de froid. Pendant que je la dessinais, elle faisait chauffer des saucisses sur son brasero pour se réchauffer.
J'avais déjà relaté sa rencontre sur ce post.
Plusieurs mois sont passés sans que je prenne le temps de la redessiner en atelier.
Alors quand, chez Maud, on évoque des envies de turquoise et de vert émeraude, je repense à sa serviette éponge entourant son beau visage serein.
Je la peins à l'aquarelle en petit format sur des collages de papiers birmans.
(Maud on aurait dû faire chauffer des saucisses sur le radiateur pour parfaire la reconstitution !)
Puis la touche Maud, ça a été l'ajout de perles de jokko dans les camaïeux de la toile.
Comment les fixer avant de les coudre ? Avec des épingles ?
Non, finalement elles seront fixées sur un ruban adhésif, pour les garder dans l'ordre en attendant de les coudre
Après couture des Jokko, Maud (qui semble vouloir rester anonyme sur cette photo, ou alors il est 3h du mat' et elle pète un plomb !) sort la perceuse pour installer des pendeloques...
Et voilà Makotu terminée, telle qu'elle a été exposée à la galerie (et a trouvé une famille d'accueil)
non seulement l'oeuvre ,ce portrait , ta réalisation et la sublimation par Maud sont fantastiques
RépondreSupprimermais les anecdotes l'humour l'ambiance de création et l'article sont réjouissants au possible
alors double - triple- merci
ps que de douceur dans ce visage
malgré le froid !!!
Très très beau résultat... Et quel visage !
RépondreSupprimerje suis scotchée, comme d'habitude, par la prouesse artistique à quatre mains, et par la douceur qui émane de ce visage.
RépondreSupprimermerci
senami
Tu as su rendre la douceur et la sérénité du beau visage de Makotu et Maud l'a sublimée par ses bijoux. Vous devez en plus passer de très bons moments de création, entre sérieux et fous rires. Maud était un peu en avance pour le carnaval! Continue à nous faire partager vos coulisses, j'adore.
RépondreSupprimerMagnifique réa! Bises
RépondreSupprimerje ne m'en lasse pas passe et repasse
RépondreSupprimerbon courage pour la mise en forme des croquis dessins pour le livre
et pour les futures expos aussi
Bonjour Stéphanie,
RépondreSupprimerMerci de nous faire découvrir l'histoire de ta toile.
Makotu est magnifique.
J'adore voir l'association de vos deux talents.
Bonne fin de journée
martine