Dans le magazine "Julie" du mois d'avril, un article réalisé avec Eric Lafforgue, sur Kapeke Djujia, fillette de 9 ans rencontrée dans un village Himba de Vetuponda.
Kapeke y raconte son quotidien d'enfant Himba.
Les traces qu'elle arbore sur le visage sur la photo ci-dessous sont des traces de cendre et d'ocre, apposées par le médecin-sorcier qui traitait préventivement tout le village, le jour où nous y étions.
Kapeke nous montre sa chambre... Ici pas de lit, on dort sur une peau de chèvre !
Et pas de dressing: les colliers, ceintures et parures de toute la famille tiennent accrochés au mur.
La Maman de Kapeke délaisse la traite des chèvres un instant pour venir voir les photos.
Et voici, peint à la gouache, un des 3 frères de Kapeke (qui a aussi 2 soeurs).
Bonus sur le site de Julie : Une vidéo où on me voit dessiner chez les Himbas, la jolie Giatungwa.
Pas de smartphone ni de tablette ?!
RépondreSupprimerL'art et la manière d'apprécier les petits bonheurs...
Le regard toujours aussi juste Stéphanie...Bravo!
Najia SAAD
Peux tu nous en dire plus sur cette étonnante coiffure ? !! Merci !
RépondreSupprimerC'est la coiffure traditionnelle de cette tranche d'âge (fille ou garçon) chez les Himbas. Si elle avait été jumelle ou 1er enfant suivant des jumeaux, elle n'aurait eu qu'une natte, au milieu !
SupprimerPlus tard, elle aura, comme sa mère, d'étranges dreadlocks enduite de beurre + poudre d'hématite.
Merci Stéphanie pour cette précision car j'avais cru comprendre à la lecture d'un ancien livre sur cette tribu que les 2 nattes étaient réservées aux petites filles et que les garçons en avaient qu'une à l'arrière...
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RépondreSupprimerchouette collaboration avec cette revue
RépondreSupprimeret superbe ces échanges ces instants
tout comme évidemment ce portrait (tons regard volume puissance)
Merci et bravo!
merci Stéphanie d'avoir rajouté le lien via julie et la vidéo make off
Supprimerque d'émotion
Les photos sont saisissantes... Elles et ton travail se complètent admirablement !
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